Cimetière franco-italien de Saint-Mandrier
n°1/1
Document
Entre l'hôpital maritime et la Croix des Signaux , le cimetière national ou sont inhumés les morts de la première guerre mondiale
Au centre du cimetière qui est considéré comme l'un des plus beaux de France, s’élève un mausolée en forme de pyramide, haut de 8 mètres, il est cerné par deux sphinx. C'est le tombeau de l'Amiral Latouche Tréville, commandant la flotte de la Méditerranée.
Ce cimetière a été érigé en Nécropole Nationale en décembre 1948. Ici reposent des soldats et marins tués lors de la 1ère Guerre Mondiale : 1024 Français et 57 étrangers (1 Bulgare, 16 Russes, 18 Grecs et 22 Serbes) ont été inhumés dans des tombes individuelles. Un ossuaire contient également les ossements de 777 combattants français.
En 1961 on a rassemblé, dans un columbarium, les restes de 975 soldats italiens, dont les corps n'ont pas été réclamés par leurs familles, et qui ont péri dans le sud de la France au cours de la 2nde guerre mondiale.
Dans ce cimetière sont également érigés 3 monuments :
- une pyramide de plus de 7 mètres de haut, datant de 1810 et renformant la dépouille du vice-amiral Latouche-Treville, commandant en chef des Forces Navales de Méditerranée, décédé en rade de Toulon le 17 août 1804.
- un tombeau renfermant la dépouille de Marie-Nicolas Ravier, capitaine de l’Armée d’Orient, mort pour la France le 8 octobre 1917
- un monument érigé à la mémoire du personnel du Service de Santé de la Marine, décédé à l’hôpital maritime de Saint-Mandrier
Ce cimetière a été érigé en Nécropole Nationale en décembre 1948. Ici reposent des soldats et marins tués lors de la 1ère Guerre Mondiale : 1024 Français et 57 étrangers (1 Bulgare, 16 Russes, 18 Grecs et 22 Serbes) ont été inhumés dans des tombes individuelles. Un ossuaire contient également les ossements de 777 combattants français.
En 1961 on a rassemblé, dans un columbarium, les restes de 975 soldats italiens, dont les corps n'ont pas été réclamés par leurs familles, et qui ont péri dans le sud de la France au cours de la 2nde guerre mondiale.
Dans ce cimetière sont également érigés 3 monuments :
- une pyramide de plus de 7 mètres de haut, datant de 1810 et renformant la dépouille du vice-amiral Latouche-Treville, commandant en chef des Forces Navales de Méditerranée, décédé en rade de Toulon le 17 août 1804.
- un tombeau renfermant la dépouille de Marie-Nicolas Ravier, capitaine de l’Armée d’Orient, mort pour la France le 8 octobre 1917
- un monument érigé à la mémoire du personnel du Service de Santé de la Marine, décédé à l’hôpital maritime de Saint-Mandrier
Entre l'hôpital maritime et la Croix des Signaux, le cimetière national où sont inhumés les morts de la première guerre mondiale.
Au centre du cimetière qui est considéré comme l'un des plus beaux de France, s’élève un mausolée en forme de pyramide, haut de 8 mètres, il est cerné par deux sphinx. C'est le tombeau de l'Amiral Latouche Tréville, commandant la flotte de la Méditerranée.
Au centre du cimetière qui est considéré comme l'un des plus beaux de France, s’élève un mausolée en forme de pyramide, haut de 8 mètres, il est cerné par deux sphinx. C'est le tombeau de l'Amiral Latouche Tréville, commandant la flotte de la Méditerranée.
Source : www.tourisme-ouestvar.com
En 1958 le ministère des Anciens Combattants récupère la gestion du cimetière et décide avec l’accord du gouvernement italien d’utiliser le cimetière pour rendre hommage aux soldats Français et Italiens tombés au champ d’honneur durant la seconde guerre mondiale. Un peu plus de 900 corps non réclamés par les familles ont été placés dans ce cimetière.
Le site offre une vue imprenable sur la presqu’île et sur la rade de Toulon.
Source : http://www.saint-mandrier-mer.comCopyright Archives départementales du Var. Photographies de Joël Levillain.
Archives départementales du Var - Draguignan
Licence Archives départementales
Copyright Archives départementales du Var. Photographies de Joël Levillain.
commémoration
mémorial, monument aux morts
Guerre 1914-1918, Guerre 1939-1945